Les petits Rousseau...

Quelques photos du feu d'artifice. Un "spectacle" avec des "boum", de la musique et des lumières. Certaines lumières sont commentées : "ça, c'est bien ça". Les petits n'ont même pas eu peur. Et aucun ne s'est endormi...

Par contre, sur le retour, la poussette "une place" a été bien utile... Nathan a " gardé les yeux ouverts" et annoncé qu'il ferait son propre feu d'artifice "demain acheter beaucoup boum boum boum, Nathan a droit, est grand".

Emilie n'a pas eu peur le 13 juillet au soir dans les bras de son papa... mais le lendemain... ella a poussé des cris de terreur lorsque nous nous sommes promené à Cheptainville, lieu où nous avons vu, entre autres, des petites chèvres. Il faut dire que l'une d'entre elles a tressailli, n'ayant pas vu Emilie arriver. Ensuite, c'était fini. La conclusion était faite pour Emilie : c'est dangereux.

Clémence, elle, pleure moins (on semble arriver à la moyenne de 15min de coliques très douloureuses toutes les 3heures et dans les autres cas, papa et maman ont maintenant l'espoir de la calmer). Les parents deviennent "accros" à la tenir dans leurs bras.

Ce matin, on s'est promené à Rambouillet, l'occasion de sortir en famille.

Emilie n'a pas encore l'habitude de marcher très longtemps mais sur la fin, son papa a bien géré : Clémence dans le porte-bébé et Emilie sur les épaules. Et 3h de sieste pour la grande en rentrant à la maison.

Il faut dire qu'en ce moment, Emilie est plutôt fatiguée. Peut-être un début d'otite (c'est ce qu'à dit le pédiatre à la visite) mais nous on pencherait plutôt pour le syndrôme "Clémence"; on vous explique : la "grande" veut TOUT faire comme son frère. Ils courent ensemble, font leurs bêtises ensemble et veulent même être puni ensemble. Si on cherche Emilie, on sait qu'elle est probablement à côté de Nathan, et vice-versa. Les conséquences : une Emilie épuisée (pas facile à 17mois de suivre son frère de 3ans) et des parents épuisés aussi (beaucoup plus difficile de se faire obéïr par un "clan" constitué de deux personnes). Ceci dit relativisons : c'est une grande joie de voir se constituer une fratrie, éclats de rire garantis, et beaucoup moins de travail quand les deux grands se gérent comme un.

Et une petite photo de Nathan et Clémence prise au réveil ce matin :

Sur la dernière photo, Clémence, qui pourtant pleurait, s'est endormie d'un seul coup lorsque Emilie l'a prise dans ses bras. Ce n'est pas la première fois que l'on remarque l'effet calmant que peuvent avoir Nathan et Emilie sur leur petite soeur (ceci étant, parfois, quand ils font un bruit monstre, c'est plutôt l'inverse).